C'est pas la capitale
Thierry

Nouvelle année, nouveau départ, nouvelle aventure!

Cette fois-ci c’est à Marseille que commence ce nouveau périple. J’ai donc emmené mon vélo faire un tour sur les trains Belges et Français. Le train de nuit fait son retour en Europe et je suis agréablement surpris de l’offre Française. Un lit dans l’intercité de nuit descendant dans le sud ne m’a couté que 29€ (+10€ de supplément pour le vélo). Même prix que le tgv et malgré que ce soit un peu serré à 6 dans 10m² il y a une prise de courant par personne, juste ce qui faut en terme d’espace de rangemant et du wifi gratuit tout le long du trajèt.

La première chose qui m’a marquée en arrivant à Marseille, c’est que c’est encore plus chaotique que Bruxelles. Les gens roulent et se garent n’importe comment. Pas toujours façile à vélo. Une autre chose qui frappe, c’est la météo. On se croirait en été ici. À seulement quelques jours d’une semaine enneigée à Bruxelles, je me retrouve sous le soleil Méditerranéen en t-shirt à 20°C.

J’ai rejoint des amis que je m’étais fait en vendanges en septembre passé, ainsi qu’Antoine qui est déjà sur la route depuis deux bonnes semaines et avec qui nous allons rouler vers la Grèce ces prochains mois.

Si Marseille est une grande ville un peu comme les autres, ses alentours sortent du commun. J’avais déjà beaucoup entendu parler des calanques sant trop savoir ce que c’était. Une calanque c’est donc une sorte de petite crique en bord de mer s’enfonçant dans la montagne. Un peu comme un tout petit fjord. C’est un très bel endroit à randonnées, offrant de magnifiques points de vues sur la ville.

Et la ville c’est bien, mais le calme me manque. Temps maintenant de se remettre en selle avec comme première étape la côte française jusqu’à la frontière Italienne.